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Deus Ex Machina Oh my God, I mean, oh Myself !
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| Sujet: Les Races Sam 9 Jan - 17:06 | |
| RACES __________________________________ Même si le terme est plutôt dépréciatif, c'est le terme officiel. N'oubliez pas que le projet d'Hitler était véritablement de créer une race "supérieure". Inutile donc de me jeter des pierres, je ne cautionne pas cette idée.
Quoiqu'il en soit, le monde de Paris 44 est divisé en 4 races, les Humains, les Wilds, les Anima et les Aliénés. A l'exception de la dernière race, les 3 premières sont jouables. Comme nous le verront dans le topic sur les Partis, Paris en 44 est la proie d'incessantes guerres civiles entre les trois races. Attardons-nous maintenant sur la présentation de chacune d'entre elles.
Aller directement sur le messages des ††††††††††† L'espèce que vous connaissez finalement le mieux puisque vous en êtes les dignes représentants, de l'être le plus humble au grand général de guerre, tous sont de cette espèce qui maitrise la Terre et se fait la guerre sans avoir besoin d'un caryotype différent.
Même si jouer un humain n'est pas le plus excitant niveau expérience extra corporelle, elle reste cependant la plus courante, la plus acceptée et la plus facilement vivable. Après tout, vous ne risquez pas de finir dans un bucher, lapidé à coup de tomates pourries par une foule en délire.Étant donné que les Aliénés appartiennent à Paris 69, vous ne pouvez jouer que les humains et les deux races suivantes. Cependant, afin que les joueurs de Paris 44 qui souhaiteraient se plonger plus tard dans le monde de Paris 69 ne soient pas complètement perdus en arrivant sur le forum, cette race a été introduite sur Paris 44 en tant que PNJ.
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| Sujet: Re: Les Races Mar 2 Mar - 18:10 | |
| Les OGM de l'Armée Allemande Les deux races que nous allons à présent décrire ont été créées pour et par l'armée allemande, afin de faciliter la victoire. Cependant, les deux races ne sont pas similaires.En résumé, ce sont des Humains auxquels on a injecté de l'ADN animal. Il existe 3 générations de ces hybrides. >> Les Prima (très puissants mais défaillants et informes, sujets à de nombreuses maladies physiques et/ou mentales) >> Les Seconde Génération (relativement puissants mais ressemblant plus à des humains. Plus grande stabilité physique et mentale) >> Les Finaux (mélange ADN homme / animal très réussi. Bonne stabilité mais peu de puissance. Quelques 'plus' par rapport aux Humains)
Je vous parle de générations car les Wilds sont un projet de longue haleine pour l'empire allemand, débutant quelque part dans les années précédents la première guerre mondiale et s'achevant au hasard de la victoire de la seconde guerre mondiale.
La première génération naquit du bouillon encore chaud de la honte, l'occupation de 1870 marquait encore au fer rouge l'esprit des scientifiques allemands qui voyaient dans ces modifications un salut pour leur armée. Si les soldats étaient soudainement capables de sauter comme des chats, de soulever 100 fois leur poids comme les fourmis ou de se protéger comme le scarabée, même la terrible armée rouge ne pourrait leur résister.
furent un échec. Le projet démarrait bien, à l'approche de l'année 1910 les volontaires allemands étaient nombreux mais le début de la première guerre mondiale coupa de manière nette les ressources du pays qui laissa de côté ses cobayes. Mais hélas, comme on ne pouvait arrêter les mutations constantes, les scientifiques durent continuer leurs essais sans pouvoir contrôler parfaitement les évolutions subies. Il en ressortit que l'ADN animal s'était bien trop ancré dans le génome humain, avait explosé l'ADN des cobayes pour s'y insérer de manière inégale et dangereuse. Les sujets étaient puissants, bien plus que n'importe quel être humain, mais ils avaient aussi perdu leur humanité. Beaucoup ne supportèrent pas de n'être finalement plus que des monstres et devinrent fous (aidés par les altérations d'esprit dues aux injections), quant aux autres ils furent affligés par tout un tas de désordres physiques et hormonaux. Impossible de rester calme quand une épaisse fourrure vous pousse sur le dos ou quand vos os se tordent un peu chaque jour pour vous forcer à marcher à quatre pattes.
L'état décida qu'il fallait arrêter ce projet mortifère et la quasi totalité des Wilds fut insérée dans la société de manière plus ou moins secrète. Il était hors de question de perdre ces cobayes dans la nature, surtout depuis que le traité de 18 privait l'armée allemande de la plupart de ses forces militaires. Ces Wilds sont nés dans les années 1895 au plus tard (18 ans, âge minimal pour être cobaye).
à la surprise générale, ne fut pas une création allemande mais bien un produit de l'amour. Insérés dans la société, les premiers Wilds, informes et violents, reprirent des vies normales autant qu'ils purent, et un certain nombre se maria. Parfois entre eux, mais parfois avec des humains. Le mélange de deux Wilds ou d'un Wild et d'un Humain dilua nettement les gênes animaux dans le sang de leurs descendants (à conditions que les deux Wilds parents soient génétiquement compatibles – félin – canidé – insecte etc, auquel cas l'enfant né était souvent un monstre bien pire que les parents). Cette seconde génération était généralement bien moins affligée de problèmes hormonaux que les Prima. La nature se charge souvent de réduire les erreurs génétiques avec la même force que pour réduire une fracture, ça craque et ça fait mal mais au moins c'est remit dans l'axe. De ce fait la seconde génération était bien moins puissante mais avait l'avantage de ressembler beaucoup aux humains, seuls quelques défauts subsistants. Ils restent cependant plus forts qu'un humain normal.
Ces Wilds sont nés entre les années 1918 et 1930, les Prima ayant atteins 40 ans ne sont plus capables de procréer.
sont la dernière génération de Wild, ressortis des archives allemandes, le projet fut remis au goût du jour pour les besoins de l'armée nazi. Les cobayes furent cette fois des allemands et des déportés, d'où une différence majeure entre les deux qualifications, une « pure » pour les allemands et « impure » pour les déportés. A vrai dire, les « impurs » étaient le brouillon avant le test sur les allemands mais les sujets réussis avaient coutés tellement cher qu'on préféra garder en vie des « impurs » plutôt que de jeter des millions dans des chambres à gaz. Ça fait cher le barbelé.
Cette fois-ci, le mélange fut très satisfaisant puisque ces finaux étaient des êtres presque parfaits, exit les tares mentales et physiques des Prima, ces Wilds-là n'avaient que quelques défauts liés à leur croisement (des puces pour les félins et canidés, une certaine crainte à l'approche d'une bombe d'insecticide pour les insectes etc). Cependant, cette génération s'avéra bien moins puissante que les deux précédentes, ils avaient beau être bien plus fluides, plus stables mentalement, ils étaient moins forts que les autres. En constatant que cette faiblesse physique ne venait pas du sang déporté mais bien de la perfection de la mutation, l'état allemand décida que les camps n'étaient pas si mal, et envoya tout ce petit monde en camp, même les allemands qui n'étaient finalement plus très utiles et qui étaient désormais considérés comme des traitres à leur sang pour ne pas avoir tiré le meilleur de leur espèce.
Seul grand fait notable, Wilds allemands et juifs unirent leur force l'espace de quelques jours pour latter la gueule des officiers SS qui gardaient le camp et s'enfuirent. C'est là que les « impurs » reprirent leur vie de rats, à se cacher sans cesse, ou à se faire accepter par les populations locales.
Tandis que les « purs » considérèrent très vite être une évolution humaine et que si les allemands avaient tentés de les assassiner, c'est parce que la vue du soleil les avait aveuglés. Ces Wilds allemands méprisent leur pays, et pour ainsi dire, méprisent tout ce qui ne leur ressemble pas de près ou de loin. Ils cherchent à rallier à leur cause de jeunes partisans aux jeunesses hitlériennes pour les persuader de se faire muter (dans les laboratoires secrets Wild) et ainsi agrandir la race parfaite Wild finale.
Ces Wilds les moins puissants, sont nés au minimum 18 ans avant le début de l'expérience, dans les années 1939.
L'épisode des Finaux décida le IIIème Reich à chasser d'Allemagne toute la vermine mutée, les Prima et leurs enfants. Pour éviter la concentration, la première et la seconde génération s'enfuirent de l'empire pour rejoindre les pays frontaliers encore libres. Tous les Wilds sont désormais aussi pourchassés que les juifs. Prima, Seconds, Finaux et Anima sont maintenant des « déportés en déplacement ».
A Paris, les Wilds sont encore chassés par La Résistance car considérés comme des rejetons de l'armée allemande. Leurs seuls alliés sont les Anima, et encore ces derniers se méfient d'eux comme la peste. [/list] Courage les gars.
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| Sujet: Re: Les Races Mer 3 Mar - 1:08 | |
| Au singulier Animus, les Anima sont une création du professeur Ver Raginbrand, grand spécialiste génétique passionné d'ésotérisme. Le projet utopique consistait à créer des êtres immortels dont l'âme ne pouvait être détruite. Une fois en combat il aurait suffit de recréer le corps de ces supers soldats pour les renvoyer sur le champ de bataille. Ver Raginbrand imagina alors le réceptacle le plus anodin pour l'esprit de ses combattants : un animal. La similarité de ce projet avec celui de Wilds plut énormément en haut lieu allemand et le führer alloua une grosse quantité de devise au professeur ainsi qu'une équipe japonaise.
C'est à ce moment précis que commence l'histoire des Anima. Ver Raginbrand et son équipe écumèrent pendant un an tout l'empire allemand (y compris les alliés) à la recherche de cobayes, en visant plus particulièrement les condamnés à mort et les malades en phase terminale. Il leur fallait des gens désespérés dont l'âme était suffisamment forte pour supporter un transfert violent. Après tout celui qui se sait perdu ne craint plus rien.
Les tests commencèrent en 1939 sur vingt volontaires, puis s'étalèrent sur dix autres nouveaux venus jusqu'en 1942. Le professeur croyait avec une certaine ferveur que l'âme n'était qu'un membre comme un autre que l'on pouvait à loisir amputer puis recoudre pour peu d'avoir suffisamment de technique. Cependant les essais n'étaient pas concluants, et si Ver Raginbrand réussît effectivement à extraire l'âme d'un corps humain pour la matérialiser sous une forme animale, cette forme était douée d'une conscience et donc très difficilement stockée à l'abri, comme prévu à la base. Davantage, il semblait impossible d'extraire totalement l'esprit du corps humain, ce qui le laissait encore la proie de la peur, du doute, surtout qu'aucun des cobayes n'avait la volonté d'un militaire pour aller se faire massacrer. Pire encore, le professeur comprit que son but ultime n'était même pas atteint quand il tua cinq de ses cobayes. En effet, si l'animal mourrait, il entrainait son maitre avec lui mais hélas, la mort du maitre entrainait aussi celle de l'animal. Il n'y avait aussi que les deux faces indissociables d'une même médaille, pas de super soldat.
Pourtant Ver Raginbrand continua ses recherches jusqu'en 42 où il trouva la solution à ses erreurs, il suffisait de tenter une seconde opération sur un cobaye déjà dédoublé. En effet, si un humain était porteur de deux anima, la mort d'un d'entre eux ne serait plus grave car un être résisterait toujours dans le trio. Il fit un unique test qui s'avéra partiellement convaincant et qui le poussa, dans un dernier éclair de folie, à tester sur lui-même. Il fit l'erreur de n'attendre qu'une semaine entre les deux séparations et les lambeaux de son âme déchirée se dissipèrent totalement lors de la deuxième étude. De la coquille vide qu'était devenu Ver Raginbrand émergea un terrible chaos, les scientifiques japonais désœuvrés tentèrent d'éliminer les cobayes les moins concluants en oubliant que certains d'entre eux étaient d'anciens prisonniers. Ce furent finalement 12 anima qui sortirent vivants du laboratoire en 1942 et s'éparpillèrent sur toute la surface du globe. Peu de place pour ces rejetons de l'échec dans une Allemagne qui avait dépensé énormément d'argent pour eux. Le fürher envoya d'ailleurs très rapidement une escouade de SS aux trousses des Anima pour leur faire rejoindre les rangs de l'armée.
Les Anima ressemblent trait pour trait à des êtres humains, à la différence qu'ils sont constamment suivis par leur animal. L'animal, lui, est une représentation de la psyché profonde de l'humain qu'il accompagne. Chaque animal possède une symbolique propre et précise qu'il convient de lier très précisément avec le caractère de son personnage. Cette forme est définitive et perdure jusqu'à la mort de l'humain, où l'animal rejoindra le corps de son maître. [Je vous conseille de consulter un dictionnaire des symboles plutôt que d'opter de base pour un loup, une panthère, un tigre, un chien, un chat, un aigle où tout animal qui serait choisi avant tout pour sa réputation plutôt que pour sa symbolique. N'oubliez pas que votre personnage est déjà assez cool comme ça]. Généralement; l'animal est de sexe opposé à l'humain. Il arrive cependant que l'animal soit de même sexe, ce que Ver Raginbrand traduisait comme une expression d'homosexualité...
L'homme et l'animal communiquent aussi simplement qu'entre deux humains, ils se comprennent respectivement et l'animal est doué d'une conscience verbale qui lui permet de s'exprimer aussi clairement que son hôte (dont son éloquence est tirée, puisque l'animal est l'humain). Cependant, une personne extérieure au couple entendra l'humain parler tout seul et l'animal émettre des cris incompréhensibles. Ça donne un peu l'impression de regarder un épisode de Flipper le dauphin « -Crri crii crii - Quoi ? Le capitaine est en danger ? Merci Flipper ! - Crri crii crii ».
- Problèmes inhérents à la séparation
Tous les cobayes du professeur possèdent des vices cachés, c'est un peu comme un papier cadeau très joli cachant une porcelaine très fracturée. Globalement les Anima possèdent deux problèmes récurrents jugulés par la taille de leur animal. Un animal de plus grande taille nécessite une plus grande part de l'âme de l'homme et de ce fait lui cause énormément de tort. La séparation cause à l'homme des dégâts psychologiques variés allant du simple état dépressif (pour un petit animal tel qu'un rongeur) jusqu'à la catatonie dégénérative (pour un plus grand animal tel que les félins). De même, les anima étant incapable de s'éloigner de plus de 10 mètres de leur animal sans ressentir une vive douleur, les porteurs de gros animaux sont handicapés dans leurs déplacements quotidiens. Leur seule consolation est de posséder un allié de poids si jamais ils sont agressés dans la rue. Ça, et le fait de ne pas craindre de mourir seul.
Les Anima sont librement inspirés de la trilogie A La croisée des mondes de Philip Pullman, et des animaux qui les accompagnent, nommés Daemons dans l'oeuvre.
En résumé Les Anima c'est :
- Une trentaine de pecnos condamnés à mort, ou mortellement malades et graciés par un hollandais (volant) fou et des japonais bizarres en 1939.
- Des opérations de 1940 à 1942 puis la mort dudit hollandais cette année-là.
- Une douzaine d'Anima lâchés dans la nature et ayant très intérêt à se faire discret s'ils ne veulent pas que Hans Landa et ses petites bottes cirées viennent les ramener à Berlin.
- Un animal qui est la nature profonde de leur âme et avec lequel ils peuvent communiquer.
- Une distance de séparation violant toutes les lois de l'intimité (10 mètres)
- Des problèmes psychologiques aussi gros que leur bestiaux,
- Des problèmes, des problèmes,
- Et encore des problèmes...
- Et 1 Philip Pullman
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